- - - - - Dans la nature l’ eau subit de grandes variations dans ses caractéristiques. - Pour cela on utilise de la tourbe pulpeuse , ou de la fibre de coco. Pour éviter d’ avoir un bac envahi par un nuage de tourbe, ce qui cacherait les poissons aux yeux du killiphile, il est judicieux d’ utiliser les petites boîtes décrites dans la page " Reproduction des killies annuels ". De préférence mettre en présence un mâle avec deux femelles. Le couple prendra rapidement possession du milieu de ponte mis à sa disposition et s’ y enfouira allègrement pour y déposer leurs oeufs. - - - Cette tourbe sera bien essorée pour une mise en incubation pendant une période de 5 mois , parfois bien davantage en fonction de la température. Il est cependant conseillé de vérifier régulièrement l’ état d’ avancement de l’ embryon afin de choisir le moment propice à la mise en eau ( Lorsque l’ oeil de l’ alevin est nettement visible à travers la membrane de l’ oeuf ). Après une première mise en eau il faudra remettre la tourbe au sec car il reste probablement des oeufs pour une seconde mise en eau un mois plus tard. Il est même possible d’ effectuer une troisième mise au sec. Au départ les alevins seront nourris copieusement , en évitant toute pollution, à l’ aide de microvers et de nauplies d’ artémias. Comme tous les poissons annuels la croissance des jeunes est rapide. - |
- Poisson non recommandé pour un bac communautaire mais que l’ on peut conseiller au killiphile qui désire débuter dans le monde des killies annuels. |